Nouvelle Zélande #1
20-21-22 janvier
Levés à 5h du matin pour boucler les derniers préparatifs, et départ à 6h pour l’aéroport.
Notre voyage aérien s’est déroulé sans encombre, malgré quelques turbulences et une mer de nuage…nous étions parfois dans la purée de pois…
Après un passage en règle à la douane sanitaire : inspection de nos chaussures de marche lavées avant de partir, de la tente, passage du reste des bagages au rayon X, et douche désinfectante…non, je rigole !
(La NZ est un pays dont l’économie repose essentiellement sur l’agriculture et l’élevage…ils ne veulent donc pas de parasites étrangers qui pourraient nuire à leur richesse.)
Nous avons pris un deuxième avion pour Christchurch sur l’île du Sud.
Là le ciel s’est dégagé et nous avons pu admirer l’immense plaine du Canterbury.
Un taxi nous a tous embarqué et nous a déposé….au mauvais motel ! L’adresse ne correspondait pas au motel. Mais Tina et Mary nous ont secouru et nous ont transportés dans leur petite voiture jusqu’à bon port !
Une rapide installation et nous voilà partis découvrir le centre de la ville. Nous avons été surpris par la température…ON SE GELE…Il doit faire 21° max, ce que nous n’avons plus depuis plusieurs mois à Nouméa !
Nous trouvons un Mac Do (nous sommes un peu fatigué pour dégoter un bon resto…en plus, Tibo a oublié le guide sur un banc…) et rentrons nous coucher dans notre palace.. Le lendemain, il fait beau et nous filons prendre un petit dèj en ville.
Quelques courses et repérages de la ville, puis nous louons des vélos pour l’après-midi. Christchurch est une ville plate et pleine de voies cyclables !
L’influence anglaise est omniprésente et c’est un délice pour les yeux : jolies maison en bois, vieux manoirs de style gothique, jardins et parcs.
Nous flânons quelques heures dans le jardin botanique et nous extasions devant les prouesses d’une contorsionniste (le Festival des Art de la Rue s’y déroule en ce moment).
Puis nous allons voir la première maison construite par un colon dans cette plaine. Celle-ci est toute petite et le confort spartiate…
Le deuxième jour, malgré un début de journée prometteur, la pluie et le vent venant du Sud, donc de l’Antarctique, nous a dissuadés de relouer des vélos…Un vent glacial et une pluie soutenue nous ont littéralement frigorifiés, le chocolat chaud n’attendait plus que nous !
Le soir, à la télévision passait un documentaire sur Edmund Hillary, car c’était le jour de son enterrement. Je suis étonnée de voir son image sur un des billets de banque. De son vivant…je ne sais si cela s’est déjà fait en France.