6 février-Huka Falls
6 février
Ce matin, nous traînons dans le camping…moi sur internet, les enfants dans les jeux, et Hugues dans un bouquin ! La machine tourne, le linge sera bientôt propre prêt à passer dans le « dryer ». (Je l’ai oublié et il a fallu faire demi-tour pour le rechercher !)
Juste à coté du camping se trouve un point de chute pour du Bungy, ou le saut à l’élastique. Les Néo-Zélandais ont inventé cette discipline dans les années 80 et sont friands de tous les sports extrêmes.
La rivière au-dessus de laquelle la passerelle de saut est installée est très belle. Nous pensions voir des téméraires, mais c’est la pause-déjeuner.
Augustin est bien tenté par un saut…Il sera le seul représentant de la famille. (Thibault aussi voulait le faire, mais il n’était pas assez lourd ! )
Il a trouvé cela « super » avec une impression de « voler ». et que la rivière se rapprochait très vite quand même ! J’ai eu du mal à le suivre en photo, mais vous le voyez bien ! le petit pantin au bout du fil…qui n’arrêtaient pas de remonter son polo ! L’élastique est calibré en fonction de son poid et de l’amerrissage ! En effet, certains voulaient faire un petit plongeon…on rallongeait donc l’élastique ! Mais la température de l’eau à « refroidit » mon ado !
Remis de nos émotions, nous partons voir des chutes d’eau célèbres dans la région : les Huka Falls. Elles ne sont pas très hautes, mais l’eau est superbe, et les tourbillons ne donnent pas envie de s’y baigner. Les enfants râlent et crèvent de faim. Pause pique-nique sur un coin d’herbe (j’ai l’impression de n’avoir fait que de la cuisine pendant ces vacances…)
Il fait beau et nous nous crémons un max, car le soleil brûle. J’ai trouvé une crème qui protège également des piqûres de moustique et qui laisse la peau toute douce. Je vais en rapporter quelques tubes à la maison !
Direction le barrage, maintenant…des sauts de puce en camping-car !
Quatre fois par jour, le barrage en amont « lâche du lest » et ouvre ses vannes.
Les rapides en aval se gonflent d’une eau turquoise. Une sirène retentit 5 min avant afin d’avertir les randonneurs dans les gorges. Puis une deuxième et les vannes s’ouvent pendant une heure.
L’eau monte de deux mètres et les rapides ont repris leur fonction.
Nous continuons notre route vers Rotorua, capitale de la géothermie.