Premier contact
Une réunion pour un futur voyage, c'est un bon prétexte pour une virée "in love" à l'autre bout de la France, au bord de la French Riviera : Nice.
Trois jours, c'est court, mais si dépaysant que le retour est plus que cafardeux.
Arrivés au milieu de l'après-midi.
La lumière est éblouissante, très forte et contrastée. La vue de notre pension nous enchante ! (adresse secrète...connue des seuls initiés).
La promenade des Anglais nous attire, la mer nous aspire.
Les galets sont bouillants ! (ma fille, à la vue de nos photos à notre retour, s'est écrié : " Canon, on peut faire plein de ricochés !"). Et l'eau un peu froide, mais pas tant. Mon Hom va se baigner, je me prélasse...
Une demi-heure après, transit mais content, l'Hom réapparaît, se réchauffe un peu, bouquine...Nous repartons vers notre villa nous changer, à deux pas de la plage...Cet endroit est extraordinaire et Vénus ne nous dira pas le contraire !
L'heure passe, la lumière change, nous filons vers le cours Saleya et la vieille ville.
Les plages privées rivalisent de confort et de déco "tendance".
Grande envie de se poser dans un canapé à boire une bière...mais je veux profiter des derniers rayons du soleil pour photographier "les couleurs du Sud" de Nice.
Nous entrons dans le cours Saleya, où les terrasses des resto se partagent la place avec des stands d'artisans.
Plus de lumière dans les rues étroites. Je me délecterai du coin. On doit avoir de vrais têtes de touristes, car les "rabatteurs " des terrasses des resto nous parlent dans toutes les langues, sauf la nôtre !!!!
Beaucoup de resto "à touristes", un petit bar pour notre mojito apéritif fera l'affaire. Car le tout petit resto que j'avais trouvé sur le net est plein à craquer. "Palmyre" sera d'un autre voyage.
Après avoir pris le pouls de la ville, nous partons nous remplir l'estomac. L'ambiance, ce vendredi soir, est estivale. Une place à une terrasse dans un endroit stratégique, un groupe de jazz...on est bien...
Pas envie de partir. Mais l'air se rafraîchit un peu...j'aurais du prendre une écharpe en coton...
Retour vers la maison...
Nous déambulons "en aveugle" dans les ruelles encombrées. Puis au détour d'une rue, la grande place Masséna avec ces scribes, qui nous font penser à d'énorme Nounours Haribo !
Pourtant pas fan de l'art moderne, j'adoorrre ! ces hommes de Jaume Plensa juchés à plus de 10 mètres de haut !
Retour vers la Promenade des Anglais, le long de grands hôtels plus ou moins mythiques.
Retour dans notre jolie chambre sous les toits. On donne certes sur la plage, mais le boulevard est un peu bruyant. On entend quand même le bruit des vagues. Et c'est un doux fond sonore pour le réveil du matin...
Mon objectif donne des signes de faiblesses. L'auto-focus ne veut plus faire le point. Je joue en manuel, mais la photo spontannée est impossible à prendre.
Verdict de fin de séjour : Objectif HS. 200 euros de réparations. 3 semaines sans mon greffon....